Michael Bond à la recherche de l'Hydroxychloroquine

Publié le par Mathilde Bluedesk

Tout aura été dit sur l'hydroxychloroquine.  Tout et son contraire. Il semble quand même que le traitement ait fait ses preuves et ait été victime non pas d'un complot mais plutôt de la combinaisons de querelles d'égos et de l'influence de 'Big Pharma'. Mais celui qui  l'aura promu a suscité l'espoir, l'espérance à contrario d'un Jérôme Salomon qui égrenait chaque soir de mars  à début mai 2020 le nombre de morts avec probablement une forme de sadisme inconscient. Didier Raoult soignait les gens, les testait, avec son équipe, prenait soin d'eux et n'était pas partisan de la ligne 'restez vous avec un doliprane'. Il est entré dans l'Histoire, c'est réglé. 

C'est particulièrement étrange à l'heure où il quittera peut-être l'IHU de Marseille que cette chanson arrive, avec ce clip crépusculaire à la Mad Max. L'artiste Michael Bond joue homme désespéré qui essaye de trouver un traitement pour soigner son pote mourant. L' Hydroxychloroquine apparaît comme la solution de la dernière chance, mais elle est elle même une allégorie de l'espérance et aussi de la solitude. 
 
La titre est court, rock, efficace, le refrain se fredonne facilement. A suivre comme le dit le clip. 
 
Cette chanson est extrait de l'album du même titre de Michael Bond disponible uniquement sur Bandcamp où le démarrage est bon (prix libre).
 
https://purpleshadow.bandcamp.com/album/hydroxychloroquine
 
 
 
 
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